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Combattants de Lampaul Ploudalmézeau
Noms de L - Le Fourn à L'Hostis
Photo source : Municipalité Lampaul Ploudalmézeau
Colorisation Patrick Milan
Le Fourn Vincent
Né le 1 Septembre 1872 à Lampaul Ploudalmézeau
Classe 1892 Matricule 1874
Rappelé à l'activité le 9 Août 1914
87e Régiment d'Infanterie Territorial
3e Régiment d'Artillerie à Pied de Cherbourg
le 16 Avril 1915
7e Régiment d'Artillerie à Pied
le 28 Décembre 1915
11e Régiment d'Artillerie à Pied
le 3 Janvier 1916
10e Régiment d'Artillerie à Pied
le 1 Novembre 1916
68e Régiment d'Artillerie à Pied
le 1 Août 1917
Démobilisé le 7 Janvier 1919
se retire à Coat Méal
Campagne contre l'Allemagne
du 2 Août 1914 au 7 Janvier 1919
Le Gall Claude
Né le 25 Novembre 1897 à Lampaul Ploudalmézeau
Classe 1917 Matricule 2345
Incorporé le 7 Janvier 1916
41e Régiment d'Infanterie
Soldat de 2e classe
94e Régiment d'Infanterie - aux Armées
le 24 Octobre 1916
Disparu le 30 Mars 1918
Fait prisonnier le 30 Mars 1918
dans les Ardennes
Rapatrié le 28 Novembre 1918
19e Régiment d'Infanterie
le 3 Janvier 1919
147e Régiment d'Infanterie
le 1 Mai 1919
Démobilisé le 27 Septembre 1919
se retire à Lampaul Ploudalmézeau
Campagne contre l'Allemagne
Intérieur
du 7 Janvier 1916 au 23 Octobre 1916
aux Armées
du 24 Octobre 1916 au 30 Mars 1918
Captivité
du 31 Mars 1918 au 28 Novembre 1918
Le Gall François
Né le 11 Novembre 1870 à Lampaul Ploudalmézeau
Classe 1890 Matricule 1169
Rappelé à l'activité le 29 Mars 1915
87e Régiment d'Infanterie Territoriale
1er Régiment d'Infanterie Territoriale
le 11 Janvier 1917
134e Régiment d'Infanterie Territoriale
le 1 Février 1917
85e Régiment d'Infanterie Territoriale
le 11 Mars 1917
Détaché Agricole catégorie B
le 13 Juillet 1917
118e Régiment d'Infanterie
le 10 Novembre 1917
Relevé de l'Agriculture le 5 Juin 1918
Rentré au dépôt le 5 Juin 1918
65e Régiment d'Infanterie le 15 Juin 1918
Intégré en équipes agricoles
Démobilisé le 3 Décembre 1918
se retire à Ploudalmézeau
Campagne contre l'Allemagne
du 25 Mars 1915 au 13 Juillet 1917
du 56 Juin 1918 au 3 Décembre 1918
Le Gall François Marie
Né le 27 Avril 1891 à Lampaul Ploudalmézeau
Classe 1911 Matricule 1460
Inscrit Maritime
Réformé n°2 le 11 Mai 1911
Reconnu Bon pour le Service en 1914
Mis à la disposition de la Guerre
pendant la durée des hostilités
affecté au 19e Régiment d'Infanterie
Incorporé le 17 Mars 1916
Versé au 2ème Dépôt des Equipages de la Flotte Brest
le 17 Octobre 1916
Le Gall Jean Louis
Né le 9 Octobre 1873 à Lampaul Ploudalmézeau
Classe 1893 Matricule 2513
Rappelé à l'activité le 2 Août 1914
87e Régiment d'Infanterie Territoriale
11e Escadron du Train des Équipages
le 19 Janvier 1916
2e Escadron du Train des Équipages
le 7 Décembre 1918
Démobilisé le 31 Décembre 1918
se retire à Saint Pabu
Campagne contre l'Allemagne
du 2 Août 1914 au 31 Décembre 1918
Le Gall Jean Marie
Né le 31 Janvier 1876 à Lampaul Ploudalmézeau
Classe 1896 Matricule 2731
Rappelé à l'activité le 3 Août 1914
3e Régiment d'Artillerie à Pied
6e Régiment d'Artillerie à Pied
le 1 Avril 1916
152e Régiment d'Artillerie à Pied
le 16 Octobre 1918
Démobilisé le 26 Janvier 1919
se retire à Saint Pabu
Campagne contre l'Allemagne
aux Armées
du 3 Août 1914 au 26 Janvier 1919
Le Gall Yves Marie
Né le 2 Novembre 1888 à Lampaul Ploudalmézeau
Classe 1908 Matricule 729
Inscrit Maritime
Le Gars Ollivier
Né le 10 Mars 1879 à Lampaul Ploudalmézeau
Classe 1899 Matricule 1521
Inscrit Maritime
Le Roux Jean Marie
Né le 16 Juin 1892 à Lampaul Ploudalmézeau
Classe 1912 Matricule 96715
Engagé Volontaire 5 ans le 17 Mai 1910
aux Équipages de la Flotte
Apprenti Marin
Matelot de 3ème classe le 28 Mai 1911
Matelot de 2ème classe le 15 Juin 1911
Matelot de 1ère classe Électricien le 1 Juillet 1914
Rengagé pour 3 ans le 22 Décembre 1915
Quartier Maître Électricien TSF
Disparu en mer le 29 Avril 1918
lors de la perte du Sous-Marin Prairial
Mort pour la France
Monument aux Morts de Lampaul Ploudalmézeau
Sources Forum 14-18
Récit de l'accident :
« Prairial »
L’accident :
A 23 heures 35 le 29 avril 1918 le « Prairial » sort en rade du Havre dans une mer formée avec son équipage composé
de vingt-six hommes sous les ordres du lieutenant de vaisseau le Moullec, il est accompagné par le « Chasseur II » son escorteur.
Il se rend au large pour y effectuer un plongée de quinze heures dans un secteur dont les limites ont été communiquées
à tous les bâtiments à la mer et aux convois venant d'Angleterre.
Moins d’une heure plus tard il franchissait la passe du grand barrage en compagnie de son escorteur le « Chasseur II »
commandé par le premier maître pilote Riou, qui se tient suivant ce qui à été convenu à cent mètres de lui par bâbord.
Ils font route vers le nord-ouest à la vitesse de (?) nœuds, après avoir changé quelques signaux avec l’arraisonneur de garde,
la nuit et extrêmement noire, le vent creuse la mer, les lames qui ont deux mètres de haut balaient le sous marin du bout à l’autre
et jamais le kiosque où se tiennent le commandant et hommes n’a aussi bien mérité sont nom de baignoire.
A 3 heures 25 apparaissent les feux vert et rouge des bâtiments d’un important convoi qui navigue à grande vitesse parmi eux
le « Tropic » un transport Anglais venant de Spithead, pour une raison inconnue le « Tropic » s’est trouvé déporté de sa route, il se trouve dans le nord est en vue d’Antifer, il rectifie alors sa route à ½ vitesse se sachant à proximité, sinon même dans une zone interdite.
Or cette route se rapproche sans qu’il s’en doute de celle du sous-marin qui à ses feux clairs lui aussi, le transport est maintenant tellement proche, que le sous-marin entendent le sourd grondement de ses machines et aperçoivent son sillage puissant par moment phosphorescent.
Depuis le « Chasseur II » on a l’impression que le « Tropic » va passer entre le « Prairial » et son escorteur qui lance
des coups de sifflets de mise en garde.
Brusquement les feux du « Prairial » disparaissent de la vue de l’escorteur pour reparaître presque aussitôt à l’arrière du « Tropic » l’équipage de l’escorteur est alors persuadé que le transport vient de passer, formant écran entre les deux petits bâtiments.
Mais le « Prairial » sous la houle, paraît être terriblement dans le sillage de l’anglais il est trop tard malgré les manœuvres de l’escorteur pour protéger le « Prairial » celui ci qui semble vouloir faire route sud est et commence à signaler par Scott « nous venons de… »
D’un seul coup, toutes les lumières à bord du sous-marin s'éteignent et le message reste inachevé.
A ce moment, le « Chasseur Il » est à moins de 10 mètres du prairial, il entend sur la mer crier « au secours. au secours... »
Il est alors 4 heures du matin. Que s'est-il passé ?
Le sous-marin à été éperonné par tribord à moins de cinq mètres de l’étrave, en une minute le sous-marin commence à piquer du nez,
il sombre en quelques instants, six hommes sont sauvés par l’escorteur, dix-neuf autres ont disparus dans le naufrage,
au mois de juin la mer rendra le corps du lieutenant de Vaisseau Le Moullec, mort à son poste, il aura droit à des funérailles solennelles.
Extrait du journal de bord du « Tropic »
Son commandement aux machines à 3 h. 43 porte : « ...doucement ».
Puis : « Aperçu un petit navire qui croise la route du « Tropic » et un autre très peu en arrière qui essaie d'en faire autant.
On voit leurs feux verts. Les feux du « Tropic » sont tous clairs »
3 h. 43' 30", stoppé les deux machines.
3 h. 45, en AR à toute vitesse des deux machines.
3 h. 48, une collision se produit. Donné l'alarme.
3 h. 50, stoppé les deux machines, on ne voit plus le bateau abordé disparu dans la nuit très noire et le mauvais temps.
A 4 h. 10, n'entendant plus rien et ne voyant rien le « Tropic » remet en route sans même avoir mis ses embarcations à la mer,
ne pensant pas que cela soit nécessaire.
A 5 h. 39 du matin, à l'aube livide après cette nuit de tempête, le « Tropic » mouillait en rade du Havre « en dedans des filets... »
Et le journal du bord enregistre encore cette phrase du commandant W. H. T, Jackson :
« Un petit bâtiment en essayant de nous passer devant de bâbord à tribord n'a pu le faire à temps et une collision en est résultée.
Les dégâts subis par l'autre bâtiment ne sont pas connus... »
A bord du « Tropic » le choc ressenti avait été si faible, déclare t’on, que l'on ne pensa pas avoir coulé le navire abordé...
Lorsque la haute et puissante étrave du transport s'est dressée devant lui, taillant la mer échevelée, le commandant du « Prairial »
qui a gardé son sang-froid a donné instantanément l'ordre de battre arrière et de mettre la barre toute à droite.
L'évolution n'était pas achevée que la collision se produisait.
Le sous-marin a été éperonné par tribord à moins de 5 mètres de l'extrémité de son étrave, le choc le fait virer sur place
et par la vitesse acquise, il défile vers l'arrière, contre la coque du transport qu'il rague de bout en bout.
Le premier lieutenant du « Tropic » à la présence d'esprit de lancer des amarres et des échelles sur le pont du sous-marin, la mer qui déferle les emporte au fur et à mesure.
Celui-ci a ses ballasts tribord avant crevés à la hauteur de la cuisine électrique, l'eau s'y engouffre en grosses cascades,
l'officier en second tente vainement de mettre en marche les pompes d'épuisement, déjà l'eau gagne de toute part...
Maintenant le sous-marin durement secoué par les lames est seul dans le sillage du « Tropic ».
Il commence à s'alourdir, il ne manœuvre plus.
Le commandant est resté à son poste, par le panneau du kiosque et le porte-voix aux machines il crie à ses hommes :
« Prenez vos bouées !... Sauvez-vous... »
Il n'y a plus de lumière à bord, les hommes sur le pont aperçoivent au ras de l’eau le projecteur du « Chasseur Il » qui éclaire,
par rafales, les eaux glauques et agitées où ils vont sombrer.
Une minute se passe, le sous-marin commence à piquer du nez.
Son agonie commence.
Deux hommes encore ont le temps d'apparaître par le panneau du kiosque, un seul peut sortir par le panneau du milieu,
les vagues énormes qui balaient rageusement le pont emportent les hommes et déversent à l'intérieur des cataractes d'eau
par les panneaux ouverts, brusquement, le sous-marin glisse sous les pieds de son commandant demeuré sur la passerelle
et l'emporte avec lui.
Le « Chasseur II » réussit à ramasser sept hommes parmi ceux qui ont été précipités à la mer.
Il y a dix-neuf disparus, jusqu'à six heures du matin l'escorteur reste a tourné en rond dans les parages.
La mer est redevenue déserte.
Il se résout à rentrer et à 7 h. 40 débarque les survivants au quai des remorqueurs au Havre où le front de mer,
alerté, a envoyé des secours.
L’endroit où avait sombré le « Prairial » fut repéré dans l’après midi du 1er mai, le lieu du naufrage avait été repéré grâce
aux énormes bulles de mazout qui s ‘échappaient des soutes qui en contenaient près de huit tonnes.
Le lendemain un scaphandrier descendit sur l’épave qui repose sur un fond moyen de dix neuf mètres,
il observa que le sous-marin reposait droit et ne paraissait pas très sérieusement endommagé.
Le scaphandrier eut un instant d'extrême émotion lorsqu'il aperçut par le panneau ouvert du kiosque un marin cramponné
si désespérément à l'échelle de sortie qu'il lui fut impossible de dégager son corps pour le ramener à la surface.
Mais il était dit que la sépulture sous-marine des hommes du « Prairial » ne devait pas encore connaître la paix,
le 5 Mai, l’épave signalée par une bouée est à nouveau bombardée.
Un dirigeable a confondu le sillage de cette bouée avec celui d’un sous-marin ennemi, les patrouilleurs qui se trouvaient à proximité accoururent et à leur tour grenadèrent le site, ce qui provoquera un nouveau dégazement de mazout, ce n’est qu’alors
que la méprise fut reconnue lorsque la bouée fut identifiée.
Un scaphandrier descendit à nouveau sur l’épave, pour constater que les grenades avaient détruit l’arrière du sous marin,
désormais couché à 45° degrés par tribord, il fallait donc désormais renoncer à toute tentative de sauvetage
qui d’après un rapport officiel ne représentait dorénavant plus qu’un intérêt d’ordre moral.
L'amiral commandant en chef à Portsmouth, sir Stanley Colville, télégraphia à l'amiral Didelot, gouverneur du Havre,
pour lui exprimer au nom de l’Amirauté
« les regrets très profonds et ses sentiments attristés à l’occasion de ce deuil causé à la Marine Française... »
La traditionnelle commission d'enquête se composait du capitaine de frégate de Marguerye, commandant le « Dunois »,
du lieutenant de vaisseau Moëvus, commandant le sous-marin « Fructidor » et du lieutenant de vaisseau de Blacas,
commandant le « Torpilleur 316 ».
Elle estima qu'à bord du sous-marin, chacun avait fait tout ce qu'il fût possible de faire pour sauver le Bâtiment en faisant preuve
d'une abnégation totale et elle rendit un suprême hommage au commandant du « Prairial », sombré volontairement avec son navire.
Et, dans les jours qui suivirent, la marée ramena à la côte les corps de quelques-uns des infortunés marins du « Prairial ».
Ce n'est qu'en juin que la mer rendit enfin celui du commandant Le Moullec, mort à son poste, fidèle à la plus haute tradition de la Marine. Le Front de mer lui fit des funérailles solennelles,
Et le « Prairial » repose encore aujourd'hui à douze milles au large du Havre, avec la plus grande partie de son équipage,
demi enfoui sous les sables venus des grands fonds des mers océanes .
En 1988 les plongeurs démineurs de la Marine Nationale remontent les deux hélices en bronze d’un soixantaine de kilos chacune
pour les déposer à Cherbourg.
Position de l’épave 49°32’705’’ Nord et 000°05’ 169’’ Est
LES DISPARUS DU PRAIRIAL :
OFFICIERS (Jug. Trib. Cherbourg, 11 juill. 1918, transcrit à Cherbourg, le 22 juill. 1918) :
- LE MOULLEC, Jean, Marie,
né le 12 mai 1878 à Plounez (Côtes-du-Nord), domicilié à Cherbourg (Manche),
Lieutenant de vaisseau, Commandant du Prairial
- FEREY Georges, Désiré, Victor,
né le 6 novembre 1890 à Equeurdreville (Manche), domicilié à Cherbourg (Manche),
Commandant en second du Prairial
EQUIPAGE (Jug. Trib. Cherbourg, 9 juill. 1918, transcrit à Cherbourg, le 22 juill. 1918) :
- FOSSEY Jean, Baptiste, Edouard, Auguste,
né le 15 mars 1881 à Cherbourg (Manche) et y domicilié,
Maître mécanicien torpilleur, Matricule n° 3012-Cherbourg.
- PRIGENT Jean, Pierre, Marie,
né le 1er octobre 1881 à Saint-Pol-de-Léon (Finistère), domicilié à Morlaix (Finistère),
Maître torpilleur électricien, Matricule n° 3465-Morlaix.
- BUSSON Théophile,
né le 29 avril 1885 à Ergué-Armel (Finistère), domicilié à Saint-Pierre-Quilbignon (Finistère),
Second maître mécanicien, Matricule n° 6015-Brest.
- LE BERRE Corentin, René, Marie,
né le 11 décembre 1890 à Combrit (Finistère), domicilié à Quimper (Finistère),
Second maître électricien, Matricule n° 88.161-2.
- BASTIEN Joseph, Emile, Antoine,
né le 24 juillet 1897 à Cherbourg (Manche) et y domicilié,
Quartier-maître mécanicien, Matricule n° 40.358-1.
- CHUQUET Alexandre, Jules, Delphin,
né le 14 juillet 1894 à Aignerville (Calvados) et y domicilié,
Quartier-maître électricien, Matricule n° 41.014-1.
- DUMAS Marius,
né le 31 octobre 1894 à Jeumont (Nord), domicilié à Cherbourg (Manche),
Quartier-maître mécanicien, Matricule n° 39.629-1.
- FERLIER Henri,
né le 22 juin 1894 à Mouvaux (Nord), domicilié à Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Inférieure),
Quartier- maître mécanicien, Matricule n° 32.232-1.
- FOURNIER Auguste,
Quartier-maître torpilleur, Matricule n° 34035-1 ;
- LALANNE Eloi,
né le 16 décembre 1893 à Bordeaux (Gironde) et y domicilié,
Quartier-maître mécanicien, Matricule n° 58.031-5.
- LE ROUX Jean, Marie,
né le16 juin 1892 à Lampaul-Ploudamezeau (Finistère) et y domicilié,
Quartier-maître électricien T.S.F., Matricule n° 96.715-2.
- MARTENOT Jean, François,
né le 17 novmbre 1890 à Hennebont (Morbihan) et y domicilié,
Quartier-maître mécanicien, Matricule n° 19.839-3.
- MICHEL Jean,Charles, Napoléon,
né le 9 avril 1894 à Frévent (Pas-de-Calais), domicilié à Paris XVe,
Quartier-maître électricien, Matricule n° 40.049-1.
- ADAM Hyacinthe, Désiré,
né le 21 juin 1895 à Beaumont (Manche), domicilié à Sainte-Mère-Eglise (Manche),
Matelot de 1re classe canonnier, Matricule n° 34.268-1.
- DELESALLE Gustave, Adolphe,
Matelot de 2e classe mécanicien, Matricule n° 37117-1
- TREFFEL Marcel, François, Achille,
né le 18 septembre 1894 à La Madeleine (Nord), domicilié à Lille (Nord),
Matelot de 2e classe mécanicien, Matricule n° 39.753-1.
- QUERON Joseph, Octave,
né le 22 octobre 1894 à Jort (Calvados) et y domicilié,
Matelot électricien, Matricule n° 40.634-1.
Photo source : Municipalité Lampaul Ploudalmézeau
Colorisation Patrick Milan
Le Roux Joseph Marie
Né le 12 Août 1895 à Lampaul Ploudalmézeau
Classe 1915 Matricule 581
Incorporé le 16 Décembre 1914
62e Régiment d'Infanterie
Soldat de 2ème classe
Soldat de 1ère classe le 1 Janvier 1916
Blessé le 10 Mai 1916 au Bois de Esnes (Argonne)
Plaie avant bras gauche par éclat d'obus
Évacué le 10 Mai 1916
Rentré au dépôt le 4 Août 1916
270e Régiment d’Infanterie aux Armées
le 11 Septembre 1916
70e Régiment d'Infanterie
le 24 Mai 1917
Malade le 30 Août 1917
Évacué zone des Armées
Rejoint les Armées le 17 Septembre 1917
Blessé le 9 Juin 1918 à Saint Christophe
Plaies multiples aux mains par éclats de grenade
Évacué
Réformé définitif n°1 avec pension de retraite
le 14 Décembre 1918
Amputation du pouce gauche et du métacarpien
Campagne contre l'Allemagne
Intérieur
du 16 Décembre 1914 au 18 Septembre 1915
aux Armées
du 19 Septembre 1915 au 9 Mai 1916
Intérieur Blessé de Guerre
du 10 Mai 1916 au 10 Septembre 1916
aux Armées
du 11 Septembre 1916 au 29 Août 1917
Zone Armées
du 30 Août 1917 au 16 Septembre 1917
aux Armées
du 17 Septembre au 8 Juin 1918
Intérieur Blessé de Guerre
du 9 Juin 1918 au 14 Décembre 1918
Médaille Militaire
Léostic François
Né le 22 Juin 1868 à Lampaul Ploudalmézeau
Classe 1888 Matricule 169
Rappelé à l'activité le 2 Août 1914
18e Régiment d'Artillerie - Groupe Territorial
Renvoyé dans ses foyers le 15 Août 1914
Rappelé à l'activité le 18 Novembre 1914
Renvoyé dans ses foyers le 11 Février 1915
Père de 6 enfants
Campagne contre l'Allemagne
du 2 Août 1914 au 15 Août 1914
du 18 Novembre au 11 Février 1915
Lescop François Marie
Né le 19 Décembre 1889 à Lampaul Ploudalmézeau
Classe 1909 Matricule 2634
Rappelé à l'activité le 2 Août 1914
26e Bataillon de Chasseurs à Pieds
Soldat de 2ème classe
Aux Armées le 7 Août 1914
Prisonnier à Maubeuge le 7 Septembre 1914
Interné à Minden (Allemagne)
Rapatrié le 26 Décembre 1918
2e Régiment d'Infanterie Coloniale
le 3 Mars 1919
Démobilisé le 1 Août 1919
se retire à Lampaul Ploudalmézeau
Campagne contre l'Allemagne
du 2 Août 1914 au 31 Juillet 1919
Intérieur du 2 Août 1914 au 6 Août 1914
aux Armées
du 7 Août 1914 au 6 Septembre 1914
Captivité
du 7 Septembre 1914 au 7 Mars 1919
Intérieur
du 18 Mars 1919 au 1 Août 1919
Médaille de la Victoire
Médaille Commémorative
Lescop François Marie
Né le 27 Juillet 1899 à Lampaul Ploudalmézeau
Classe 1919 Matricule 2344
Engagé Volontaire 5 ans le 13 Décembre 1917
Equipages de la Flotte
Matelot de 3ème classe
Matelot de 2ème classe fusilier le 1 Août 1918
Quartier Maître fusilier le 1 Janvier 1920
Renvoyé dans ses foyers - Engagement résilié
le 16 Janvier 1921
se retire à Lampaul Ploudalmézeau
Campagne contre l'Allemagne
du 13 Décembre 1917 au 23 Octobre 1919
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